Célébration du dernier mercredi de l’année
Quelle est la position de son Eminence à propos du dernier Mercredi de l’année et des évènements qui l’entourent ?
Ce sont des superstitions et certaines de ces pratiques perturbent autrui.
Ce sont des superstitions et certaines de ces pratiques perturbent autrui.
Beaucoup de superstitions se soldent par l’idolâtrie car certains pensent que l’accomplissement de ces rites fait en sorte que le feu ôte la jaunisse et leur restitue la santé. Ce genre de conception remet en question l’unicité des actions (de Dieu). Personne n’est en fait contre l’idée que vous, vos proches et vos amis y trouvez une source de distraction. Il faut plutôt s’opposer aux superstitions et aux dangers qu’engendre l’accomplissement de ces rites.
Ce qui ressort des preuves à propos de la révocabilité (en particulier le célèbre hadith qui stipule que le divorce justifie le retour) est que toute forme de contrat avec la femme en viduité est assimilée à un retour (comme le rapport sexuel, les câlins, les attouchements qui par extensions compris dans la révocabilité). La précaution veut donc qu’on considère tout mariage en période de viduité comme une révocation.
La précaution veut qu’on n’épouse pas définitivement une femme des gens du livre sans l’accord de la première femme.
Usage des pétards et des produits inflammables lors des fêtes de fin d’année
Supposons que le prix du sang s’élève à 120.000.000, il faut payer 80.000.000 à l’homme qui n’a fait que participer à l’assassinat du musulman, et à l’ayant droit des deux autres hommes qui ont commis le meurtre, il faut verser 50.000.000 pour chacun. Ce qui fait 100.000.000. 60.000.000 de cette somme reviennent aux tuteurs de la femme assassinée et 40.000.000 doivent être payée par les tuteurs de l’homme. La raison qui qui justifie le versement de 80.000.000 à cette seule personne repose sur le fait que un tiers du prix du sang intégral pour complicité de l’assassinat d’un musulman est déduit de son prix de sang et on lui verse le reste. Quant aux deux autres, deux tiers de dédommagement (80.000.000) pour assassinat de la première personne leur incombent et l’assassinat de la femme (60.000.000) i.e. 2/3 du prix du sang, plus de la moitié. Donc ils ont commis un crime équivalent à un prix de sang et 1/6. Et si tous les deux sont exécutés, ils doivent, par rapport aux deux Diyâ verser un Diyâ et 1/6 sera soustrait et le 5/6 restant (qui selon fait 100.000.000) est versé : 60.000.000 incombent aux assassins de la femme et 40.000.000 aux assassins de l’homme.
La précaution veut que la prière du Tawaf soit accomplie.
Si le divorce en l’absence est exécuté avec possibilité de rappel, l’homme peut demander à la femme de revenir. Mais généralement, les divorces en l’absence sont irrévocables et un divorce irrévocable de la part de l’homme n’est plus possible, à moins qu’il décide durant la viduité de la femme de réclamer son cadeau. Dans ce cas, l’homme peut vouloir le retour de la femme.
Si aucune précision n’est faite de manière particulière par le donateur sur la façon dont il faut dépenser ce bien, il faut apparemment considérer l’espèce et les biens de ce genre en réalité comme appui aux dépenses effectuées par le père pour l’enfant et qui lui parvient. Mais les cadeaux d’autre nature correspondant au nouveau-né lui reviennent de droit et on doit l’utiliser sur lui.
Etant donné que le divorce dans la perspective islamique est très détestable, organiser une fête à cette occasion est contraire à la législation islamique.
Si la fille n’est pas mineure et jouit d’une maturité physique et mentale, si elle est capable de distinguer ce qui est bien pour elle, sans perversion, le mariage sans l’autorisation du père ne pose pas de problème. La virginité veut dire que la fille n’a pas contracté un mariage (même selon son idéologie), peu importe si la virginité au niveau de l’organe génital est préservée ou non.
Oui ! Comme le stipule la question, celui qui sollicite ce genre de prêt respecter cette condition.
Selon la question posée, c’est un acte interdit sauf si le concerné a été avisé et qu’il ait donné son accord. En dehors de cela, seuls les centres agréés ont le droit de le faire pour des nécessités.
Il n’y a aucun doute que chaque fois que l’importation des produits étrangers affaiblit l’économie nationale et cause des pertes aux producteurs locaux, l’Etat doit non seulement intervenir pour stopper cela, les commerçants doivent éviter d’importer ces produits. Les producteurs locaux doivent veiller à proposer des produits qui ne leur donneront pas l’envie de se tourner vers les produits étrangers. Il n’est pas permis de vendre la production locale sous le label étranger, même si les gens sont au courant.